On croit connaître quelqu'un,
Comme ça, comme rien...
Et puis on noue un amitié avec lui/elle
Et c'est là qu'on se dit ami(e) pour la vie
On passe de bons moments l'un avec l'autre,
On se parle de tout, de rien,
De nos vies entre autre
Comme liés par le destin...
Mais un jour,
C'est là qu'on se rend compte,
Que nos mains se lachent, se perdent, se fondent, s'écartent...
Comme dans un drap de velour,
On s'y sentait pourtant tellement bien,
Dans cette amitié,
Qui à présent ne semble n'être plus rien,
Qui semble tout simplement s'être envolée...
Peut-être dans un paradis plus lointain
Pour être là où l'on s'y sent bien...
Quand on se sent trahi par ses amis,
Abandonnée par le monde entier,
On a plus qu'une seule chose à penser,
Quitter cette vie...
Et pourquoi personne ne veut comprendre que si l'on a si mal,
C'est bien pour quelque chose,
Alors on ose
Vous dire que c'est vraiment pas normal,
Que certaines personnes pensent ça,
Que si l'on souffre c'est à cause de soi,
Mais peut-être est-ce vrai dans un certain sens
Peut-être est-ce en parti notre faute à cause de nos actions...
On ne sais pas...
On ne sais plus...
On sais seulement une chose, c'est qu'à présent tout est fini,
La douleur a pris place,
L'échéance approche,
Et personne ne pourra comprendre ce qui se sera rééllement passé dans notre vie
Pour que l'on en arrive ainsi...
Mais c'est juste que vous n'avez peut-être pas assez écouter...
Pas essayer de comprendre la personne dont vous prétendez si bien être l'ami...

J'écris, mon seul exutoire
Pour mettre fin à cette histoire.
Toi et moi, c'était notoire ;
Mais là, je n'veux plus te voir.

Ma plume s'emplit des larmes amères
Que je ne verse plus
Quand je pense à toi.
Mon cœur, à qui tu as tant déplu,
Aigri mais si fier,
Ne saignera pas deux fois.

Tant d'années passées à tes côtés,
Tant d'amis que j'ai mis de côté
Pour toi.
Toute cette estime, tout ce respect
Tout cet amour que je portais
Pour toi.
Tout ça n'est plus,
Tu le sais, tu m'as déplu.


Tout être humain mérite pardon,
Mais toi, de par ta trahison,
Ne mérite rien
De moins
Que mon mépris.

Mes yeux versaient tes larmes,
Pour toi, j'aurais pris les armes :
Moins que rien,
Bien moins,
Tel est mon prix.

Aujourd'hui, je veux t'oublier
T'effacer de ma mémoire
Ne plus jamais te voir ;
En moi, tu cesseras d'exister.
Il y a deux mois, mon amitié est morte :
Poussant son dernier soupir à ta porte...

L'orage.

Une grande ligne de feu perce les nuages en une fraction de seconde
Juste avant que le ciel ne gronde
Je vais à présent vous parler de ce moment où les dieux expriment leur rage
Ce moment qui émerveille et nous fait fermer les yeux, L'orage.

L'éclair puis le tonnerre
Ces deux-là vont de paire.
L'un provoque un éclat de lumière, l'autre un grondement féroce
Mais le plus impressionnant dans le tonnerre c'est sa force.

L'éclair ne se laisse pas admirer, c'est ça qui est énervant
Et le tonnerre est moqueur, il arrive quand personne ne s'y attend.
L'éclair surprend ou éblouit la Terre
Pendant que le tonnerre manifeste sa colère.

J'aime l'orage qui me fait remplir cette page.
Qui m'encourage.
Qui impressionne l'entourage.
Qui nous quitte en nous disant "Soyez sages".

Espoir

 

Moi seule pourrais écrire ton

prénom sans ratures

Et seul le soleil pourrait nous prendre en filature

 

Des révéltions, juste des rgards

A la lumiere d'un reflet d'un soir

Je dis : Regarde et écoute moi

Je t'aime et répond moi

 

Si je te dis ces mots faut que tu les

écoutes

Si je te donne l'amour faut pas que

tu t'en foutes....

 

Le ciel est pleins d'étoiles

Tu es derriere ce voile

Tu dis que tu m'attends

Que le reste, on laisse en plan

 

Que les mots que tu dis faut que je

les écoute

Que l'amour que tu me donnes faut

pas que je m'en foute.....

 

Comme quoi il faut esperer

Deux regards peuvent se mêler

Deux prénoms peuvent s'écrire

Deux je t'aime peuvent se dire.

 

Les mots qu'on se dit faut qu'on les écoutes

L'amour qu'on se donne, il faut pas s''en foutes....