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Blogs gratuitsposté le 03-03-2009 à 18:18:11
Son rôle
Elle a peur.
Peur du jugement des autres
Peur de ne pas être à la hauteur
Elle s'enferme dans un livre
Pour tout oublier.
Elle dis oui
alors qu'elle pense non
Elle souris
alors qu'elle a envie de pleurer
Elle porte un masque
Elle joue un rôle
Elle fais semblant de vivre
Et pense que le pire reste à venir.
Elle a peur.
Peur du jugement des autres
Peur de ne pas être à la hauteur
Elle s'enferme dans un livre
Pour tout oublier.
Elle dis oui
alors qu'elle pense non
Elle souris
alors qu'elle a envie de pleurer
Elle porte un masque
Elle joue un rôle
Elle fais semblant de vivre
Et pense que le pire reste à venir.
posté le 03-03-2009 à 18:15:28
Les Larmes Trahissent
Et les sourires glissent
Les douleurs se succèdent
Et les joies disparaissent à l'appel de leur aide
Cicatrices invisibles
Qui fait que notre âme devient insensible
Votre guérison ne sera jamais entière
On garde votre trace le long de notre vie éphémère
Illusions soutenues par un voile
Vous disparaissez seulement peintes sur une toile
Vous masquez les visages
De tant de différents personnages
Et les sourires glissent
Les douleurs se succèdent
Et les joies disparaissent à l'appel de leur aide
Cicatrices invisibles
Qui fait que notre âme devient insensible
Votre guérison ne sera jamais entière
On garde votre trace le long de notre vie éphémère
Illusions soutenues par un voile
Vous disparaissez seulement peintes sur une toile
Vous masquez les visages
De tant de différents personnages
Le vie n'est qu'une multitude de mascarades
Qu'on croit pouvoir chanter comme une balade
Si les gens tombaient leur face masquée
On verrait avec plus de facilité la dure réalité.
Qu'on croit pouvoir chanter comme une balade
Si les gens tombaient leur face masquée
On verrait avec plus de facilité la dure réalité.
posté le 03-03-2009 à 18:11:24
Pourrons-nous un jour retirer ce masque,
Qui nous cache et nous protège de toutes les bourrasques,
Toi, je ne sais pas, mais moi j'en ai envie,
Quitte à en payer le prix...
Pourrons-nous un jour retirer ce masque,
Qui nous cache et nous empêche de nous aimer librement,
Toi, je ne sais pas, mais moi j'en ai envie,
Quitte à gacher ma vie...
Pourrons-nous un jour retirer ce masque,
Qui nous cache et me raccroche à la vie,
Toi, je ne sais pas, mais moi j'en ai envie,
Quitte à y perdre la vie...
Qui nous cache et nous protège de toutes les bourrasques,
Toi, je ne sais pas, mais moi j'en ai envie,
Quitte à en payer le prix...
Pourrons-nous un jour retirer ce masque,
Qui nous cache et nous empêche de nous aimer librement,
Toi, je ne sais pas, mais moi j'en ai envie,
Quitte à gacher ma vie...
Pourrons-nous un jour retirer ce masque,
Qui nous cache et me raccroche à la vie,
Toi, je ne sais pas, mais moi j'en ai envie,
Quitte à y perdre la vie...
posté le 03-03-2009 à 18:09:32
₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪
Sur mon visage sombre et morne, un masque de lumiere rayonnanteSue mes yeux tristes de larme, un masque de joie remplie d'amour
Sur ma bouche tordue de douleur, un masque de sourire eclatant
Sur ma peau blanche et acre, un masque de couleur et de bonheur
Sur mon corps faible et abattu, une armure forte et resistante
Sur mes mains moites et crispées, des gants doux de velours
Sur mes pieds sales et brises, des sandales de cristal et de diaments
Sur ma tete lourde et acablante, un casque securisant et empli de douceur
Sur mes mains moites et crispées, des gants doux de velours
Sur mes pieds sales et brises, des sandales de cristal et de diaments
Sur ma tete lourde et acablante, un casque securisant et empli de douceur
Sur mon ame detruite et abattue, un masque de rejouissance flamboyante
Sur mes poumons fatigués, un masque de paix refletant mes rares beaux jours
Sur mon interieur dechiree par le mal, un masque de bien et d'apaisement
Et sur mon coeur meurtri, ce masque, cet imposteur, qui me remplit de frayeur
₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ - ₪ -
posté le 03-03-2009 à 18:06:00
Nouvelle danse sous l'emprise du désespoir
Je n'ose plus regarder le reflet dans le miroir
Quand la grisaille envahie mon âme entière
Et que je me sens à nouveau prisonnière
Mes silences en disent long sur mon état d'esprit
Je cache mes sanglots sous des sourires sans vie
Dernière ligne droite avant de perdre celui que j'aime
Dernière souffrance cependant avant un autre énième
Je voudrais lui crier qu'il se trompe, je le sais
Mais mon respect pour lui m'empêche de le faire
Je me sens anéantie, mon cœur saigne et se tait
Il est l'heure de faire sa valise, plier les affaires
Et puis plus rien n'a d'importance à cet instant
Je pense à nous, aux souvenirs qui me hantent
A ceux qui vont me suivrent encore longtemps
Au cruel blues que ma voix intérieur chante
Des larmes de Crystal déchirent ce corps meurtri
Avec elles s'évaporent les croyances et les espoirs
Il est temps de retourner se cacher dans le noir
Oublier son Amour sincère, renier jusqu'à sa patrie
Les mots n'ont plus de couleurs dans mes yeux embrumés
Laissant place ainsi aux sombres nuages de la tristesse
Et si mes cris seront à jamais en moi étouffés
Ils n'en seront pas moins, pour l'éternité, ma faiblesse
Je laisse derrière moi, un morceau de bonheur
Ce terme n'est pas fait pour rester dans mon cœur
Je retourne me percher en haut de ma Tour de Babel
Cultiver l'abandon et les fleurs de chagrin si Belles
Je n'ose plus regarder le reflet dans le miroir
Quand la grisaille envahie mon âme entière
Et que je me sens à nouveau prisonnière
Mes silences en disent long sur mon état d'esprit
Je cache mes sanglots sous des sourires sans vie
Dernière ligne droite avant de perdre celui que j'aime
Dernière souffrance cependant avant un autre énième
Je voudrais lui crier qu'il se trompe, je le sais
Mais mon respect pour lui m'empêche de le faire
Je me sens anéantie, mon cœur saigne et se tait
Il est l'heure de faire sa valise, plier les affaires
Et puis plus rien n'a d'importance à cet instant
Je pense à nous, aux souvenirs qui me hantent
A ceux qui vont me suivrent encore longtemps
Au cruel blues que ma voix intérieur chante
Des larmes de Crystal déchirent ce corps meurtri
Avec elles s'évaporent les croyances et les espoirs
Il est temps de retourner se cacher dans le noir
Oublier son Amour sincère, renier jusqu'à sa patrie
Les mots n'ont plus de couleurs dans mes yeux embrumés
Laissant place ainsi aux sombres nuages de la tristesse
Et si mes cris seront à jamais en moi étouffés
Ils n'en seront pas moins, pour l'éternité, ma faiblesse
Je laisse derrière moi, un morceau de bonheur
Ce terme n'est pas fait pour rester dans mon cœur
Je retourne me percher en haut de ma Tour de Babel
Cultiver l'abandon et les fleurs de chagrin si Belles
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