Titre du blog : evasion paint shop pro
Auteur : cea-passion
Date de création : 03-03-2009
Auteur : cea-passion
Date de création : 03-03-2009
posté le 03-03-2009 à 20:52:09
Pour la Vie...
C'est la tristesse d'un regard
Dont les yeux ne peuvent pleurer.
Ce sont des sentiments qui s'égarent
Sur le chemin de la vérité.
Et des larmes de sang qui coulent
Malgré cette volonté de feu.
Et sur les joues encore roulent
Des diamants d'une eau bleue.
On sait quand ça commence
Mais pas quand ça finira
Alors on entame la danse
Qui peut-être nous aidera.
Quitte à ce que ce soit avec la Mort
Peu nous importe au fond
Au final si on s'en sort
On se fout bien de ces questions.
C'est la tristesse d'un regard
Dont les yeux ne peuvent pleurer.
Ce sont des sentiments qui s'égarent
Sur le chemin de la vérité.
Et des larmes de sang qui coulent
Malgré cette volonté de feu.
Et sur les joues encore roulent
Des diamants d'une eau bleue.
On sait quand ça commence
Mais pas quand ça finira
Alors on entame la danse
Qui peut-être nous aidera.
Quitte à ce que ce soit avec la Mort
Peu nous importe au fond
Au final si on s'en sort
On se fout bien de ces questions.
C'est la tristesse d'un enfant
Qui surgit dans le noir
Qui nous fait nous demander comment
On en est arrivé là chaque soir
Et ces larmes qui coulent toujours
Qui soignent le cœur
Au fil des jours
Mais qui saignent le corps
Un poème sans le moindre sens
Je le sais et le revendique
Mais c'est comme cette fichue danse
Qui nous embourbe dans la panique
On fait ce qu'on peut faire
On se bat même dans le vent
Avec des outils rudimentaires
Qui nous feront tenir le plus longtemps
Je me fous bien de vous
Qui que vous soyez
Je me fous même de nous
Ce nous dont je rêvais
Tout est fini, anéanti
Alors pourquoi continuer ?
Ah oui... pour la vie
J'avais presque oublié...
Qui surgit dans le noir
Qui nous fait nous demander comment
On en est arrivé là chaque soir
Et ces larmes qui coulent toujours
Qui soignent le cœur
Au fil des jours
Mais qui saignent le corps
Un poème sans le moindre sens
Je le sais et le revendique
Mais c'est comme cette fichue danse
Qui nous embourbe dans la panique
On fait ce qu'on peut faire
On se bat même dans le vent
Avec des outils rudimentaires
Qui nous feront tenir le plus longtemps
Je me fous bien de vous
Qui que vous soyez
Je me fous même de nous
Ce nous dont je rêvais
Tout est fini, anéanti
Alors pourquoi continuer ?
Ah oui... pour la vie
J'avais presque oublié...