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posté le 03-03-2009 à 18:01:21
Ma fille
Mon coeur a trembler.
Quand je t'ai vu arriver mon bébé
L'amour que je ressens pour toi
Est si intense, que je ne pensais pas
Qu'il grandirait toujours
Et ceci, jour après jour
Quand je te regarde dans les yeux
Pour toi je déborde de voeux
Tu ne me comprends pas toujours
Mais tu sauras un jour
Que la vie sera un jeu
Que nous vivrons à deux
Mon coeur a trembler.
Quand je t'ai vu arriver mon bébé
L'amour que je ressens pour toi
Est si intense, que je ne pensais pas
Qu'il grandirait toujours
Et ceci, jour après jour
Quand je te regarde dans les yeux
Pour toi je déborde de voeux
Tu ne me comprends pas toujours
Mais tu sauras un jour
Que la vie sera un jeu
Que nous vivrons à deux
Je pense à toi sans arrêt
Et partout où je vais
Ma fille, ton prénom
Et partout où je vais
Ma fille, ton prénom
♥
M'inspire des tas de chansons
Tes sourires s'imprègnent en moi
Et tout mon être est en émoi
Je redécouvre ce que j'avais oublié
Ce qui est tout simplement essentiel
Avec toi, tout est merveilleux ma "belle"
Je t'aime ma fille, et cela à jamais.
♥Tes sourires s'imprègnent en moi
Et tout mon être est en émoi
Je redécouvre ce que j'avais oublié
Ce qui est tout simplement essentiel
Avec toi, tout est merveilleux ma "belle"
Je t'aime ma fille, et cela à jamais.
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.-•¯`-.,,.-> .-•¯`-.,,.-> ♥ ALYSSIA ♥ <-.,,.-•¯`-. <-.,,.-•¯`-__
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posté le 03-03-2009 à 18:00:24
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Mon Enfant
♥
Exister, c'est d'abord naître et voir la lumière du jour,
Exister, c'est aussi connaître la vie et connaître l'amour,
Apprendre, comprendre et surtout grandir humblement,
Dans la simplicité et même peut être l'ouragan.
♥
Il ne suffit pas d'attendre que tout vienne du ciel,
Il faut parfois oublier le beau et l'artificiel,
Vivre c'est aussi un jour partir pour ne jamais plus revenir,
Vivre c'est d'abord accepter la vie et surtout l'avenir.
♥
La vie, c'est comme nos mers, nos océans,
Tantôt calme, tantôt très violent,
Mets toi à la barre et garde toujours ce besoin éprouvant,
De poursuivre ta route sans t'arrêter un instant.
♥
Tu grandiras et tu devras à jamais faire face,
A toute cette haine qui parfois nous délasse,
Tu te battras à chaque moment pour arriver à ton but,
Et moi je serais toujours là, pour te soutenir dans ta lutte.
♥
Tu te marieras quand l'instant choisi arrivera,
Surtout soit en sûr et jamais ne l'oublie pas,
Vivre c'est aussi aimer le vice et le versa,
Car la vie est parfois dure, je suis sûr, tu le verras.
♥
Dans la tourmente surtout ne te laisse jamais aller,
Fait toujours preuve de courage et d'humilité,
Respecte ta vie et certainement ton choix,
Il ne sert à rien de tomber dans le désarroi.
Au soir de ta vie, comme tout mortel tu fermeras tes yeux,
Puisse tu te dire que la vie fut belle et le reste merveilleux,
Tu t'en iras et autour de toi tout le monde te regretteras,
Car la vie, mon enfant, tu en auras fait un exploit.
♥
Exister, c'est d'abord naître et voir la lumière du jour,
Exister, c'est aussi connaître la vie et connaître l'amour,
Apprendre, comprendre et surtout grandir humblement,
Dans la simplicité et même peut être l'ouragan.
♥
Il ne suffit pas d'attendre que tout vienne du ciel,
Il faut parfois oublier le beau et l'artificiel,
Vivre c'est aussi un jour partir pour ne jamais plus revenir,
Vivre c'est d'abord accepter la vie et surtout l'avenir.
♥
La vie, c'est comme nos mers, nos océans,
Tantôt calme, tantôt très violent,
Mets toi à la barre et garde toujours ce besoin éprouvant,
De poursuivre ta route sans t'arrêter un instant.
♥
Tu grandiras et tu devras à jamais faire face,
A toute cette haine qui parfois nous délasse,
Tu te battras à chaque moment pour arriver à ton but,
Et moi je serais toujours là, pour te soutenir dans ta lutte.
♥
Tu te marieras quand l'instant choisi arrivera,
Surtout soit en sûr et jamais ne l'oublie pas,
Vivre c'est aussi aimer le vice et le versa,
Car la vie est parfois dure, je suis sûr, tu le verras.
♥
Dans la tourmente surtout ne te laisse jamais aller,
Fait toujours preuve de courage et d'humilité,
Respecte ta vie et certainement ton choix,
Il ne sert à rien de tomber dans le désarroi.
Au soir de ta vie, comme tout mortel tu fermeras tes yeux,
Puisse tu te dire que la vie fut belle et le reste merveilleux,
Tu t'en iras et autour de toi tout le monde te regretteras,
Car la vie, mon enfant, tu en auras fait un exploit.
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posté le 03-03-2009 à 17:59:38
Mon Bébé
Je t'ai tant désiré .
Tu occupais mes pensées.
Puis, un jour, c'est arrivé,
Un petit être s'est crée !
Tu évoluais en moi,
Mystère de la vie de surcroit.
J'ai laissé éclater ma joie !
Quand je lui ai annoncé, il n'en a eu foi.
Narquois, il répondit qu'en somme,
Je n'avais gobé qu'une pomme !
Tes petits pieds, en percutions résonnent,
A l'oreille que colle, contre mon ventre, cet homme.
C'est à ce moment-là qu'il réalisa,
Qu'il deviendrait ce futur Papa !
A chaque échographie, il m'accompagna,
C'était pour moi son premier pas !
Puis, tout s'est précipité en préparatifs,
Nous sommes devenus très actifs,
Pour te construire un univers douillet et substitutif !
Et tout un nécessaire, sans être restrictif.
Et, aujourd'hui encore, je m'évertue,
A tisser ce cocon que tu trouves superflu.
Papillon veut voler de ses propres ailes menues !
Espérant trouver dans ce monde une issue.
Tu es venue au monde, bousculant mes habitudes,
Comment aurais-je comblé mes heures de solitude ?
Aujourd'hui, je réclame un peu de mansuétude
Je veux te faire découvrir des splendeurs en multitude !
Sans toi, ma vie n'aurait aucun sens,
Tu fais partie des belles surprises et j'entends
Que le bonheur existe et qu'il est toujours temps,
De goûter à ses plaisirs, à ses joies en attendant
Que j'agonise, permets-moi de te l'offrir,
De te guider dans l'obscurité vers un sûr avenir
Car, tu es le soleil de ma vie, mon élixir,
Qui me permet de garder la tête hors de l'eau et de réagir.
Alors laisse rayonner ton sourire
Il renferme tous les rayons de l'empire,
Dont tu es souveraine de ces sujets d'en rire
Le bonheur est là, ne le crains pas, respire !
Tu occupais mes pensées.
Puis, un jour, c'est arrivé,
Un petit être s'est crée !
Tu évoluais en moi,
Mystère de la vie de surcroit.
J'ai laissé éclater ma joie !
Quand je lui ai annoncé, il n'en a eu foi.
Narquois, il répondit qu'en somme,
Je n'avais gobé qu'une pomme !
Tes petits pieds, en percutions résonnent,
A l'oreille que colle, contre mon ventre, cet homme.
C'est à ce moment-là qu'il réalisa,
Qu'il deviendrait ce futur Papa !
A chaque échographie, il m'accompagna,
C'était pour moi son premier pas !
Puis, tout s'est précipité en préparatifs,
Nous sommes devenus très actifs,
Pour te construire un univers douillet et substitutif !
Et tout un nécessaire, sans être restrictif.
Et, aujourd'hui encore, je m'évertue,
A tisser ce cocon que tu trouves superflu.
Papillon veut voler de ses propres ailes menues !
Espérant trouver dans ce monde une issue.
Tu es venue au monde, bousculant mes habitudes,
Comment aurais-je comblé mes heures de solitude ?
Aujourd'hui, je réclame un peu de mansuétude
Je veux te faire découvrir des splendeurs en multitude !
Sans toi, ma vie n'aurait aucun sens,
Tu fais partie des belles surprises et j'entends
Que le bonheur existe et qu'il est toujours temps,
De goûter à ses plaisirs, à ses joies en attendant
Que j'agonise, permets-moi de te l'offrir,
De te guider dans l'obscurité vers un sûr avenir
Car, tu es le soleil de ma vie, mon élixir,
Qui me permet de garder la tête hors de l'eau et de réagir.
Alors laisse rayonner ton sourire
Il renferme tous les rayons de l'empire,
Dont tu es souveraine de ces sujets d'en rire
Le bonheur est là, ne le crains pas, respire !
posté le 03-03-2009 à 17:58:25
Je laisse couler une larme de desepoirs,
Une larme à travers la quelle on peut voire,
Toute la souffrance de mon coeur
Qui a du mal a se reconstruire pour l'heure.
Une autre larme apparait, elle se laisse couler.
Ce n'est qu'a travers elle qu'on peut remarquer;
Toute la fragilitee de mon esprit,
Mon ame qui crie enfermée dans le corps d'une jeune fille.
Une jeune fille qui se laisse pleurer,
Une jeune fille abandonnée.
Elle pleure, elle crit
Et laisse parler son esprit.
Elle n'aime pas parler de son desespoir,
Mais elle continue a laisser couler ces larmes,
Ses larmes qui sont au fond,
Des larmes dues a un abandon.
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