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Blogs gratuitsposté le 04-03-2009 à 02:45:23
Il n'y a pas d'ailleurs
Tant de jours, de nuits trop brèves,
Ces soupirs que tu achèves,
Sans y croire... dérisoire.
Tu voudrais d'un autre monde,
Je te sens la proie d'une ombre,
Sans me revoir, puise ton espoir.
Pour un être de décembre,
Il te faudra réapprendre,
Savoir vivre... rester libre.
Délaisser tes amertumes,
Te frayer, jusqu'à la Lune,
Nouveau voyage, faisant naufrage.
Il n' y a pas d'ailleurs,
Tu sais que ta vie, c'est ici...
Il n'y a pas d'ailleurs,
Tu sais que ta vie, c'est la mienne... aussi.
Pour toi venises
Tant de jours, de nuits trop brèves,
Ces soupirs que tu achèves,
Sans y croire... dérisoire.
Tu voudrais d'un autre monde,
Je te sens la proie d'une ombre,
Sans me revoir, puise ton espoir.
Pour un être de décembre,
Il te faudra réapprendre,
Savoir vivre... rester libre.
Délaisser tes amertumes,
Te frayer, jusqu'à la Lune,
Nouveau voyage, faisant naufrage.
Il n' y a pas d'ailleurs,
Tu sais que ta vie, c'est ici...
Il n'y a pas d'ailleurs,
Tu sais que ta vie, c'est la mienne... aussi.
Pour toi venises
posté le 04-03-2009 à 02:40:35
Mes Démons
Mes démons sont ma maison
Soulevés par la révolte
Ils sortent en claquant la porte
Et emportent ma raison.
Mes démons sont mon foyer
Je les chasse de ma memoire
Et du fond de ma baignoire
Je les entends se noyer
Mes demons sont mon refuge
Je dors les sens en alerte
Et par la fenetre ouverte
Je les vois sous le deluge
Mes démons sont ma demeure
Il faut que je leur survive
Dans mon ame maladive
Eux ils vivent et moi je meurs.
Mes démons sont ma maison
Soulevés par la révolte
Ils sortent en claquant la porte
Et emportent ma raison.
Mes démons sont mon foyer
Je les chasse de ma memoire
Et du fond de ma baignoire
Je les entends se noyer
Mes demons sont mon refuge
Je dors les sens en alerte
Et par la fenetre ouverte
Je les vois sous le deluge
Mes démons sont ma demeure
Il faut que je leur survive
Dans mon ame maladive
Eux ils vivent et moi je meurs.
posté le 04-03-2009 à 02:39:36
Les Oubliés
Ils marchent dans la ville
Les yeux fermés
Surtout ne pas les voir
Les fantomes du soir
Vetus des désespoirs
Au quels je ne veux croire
Ils marchent dans la ville
Tete baissée
Ne pas croiser ma honte
Dans leurs regards éteints
Si ma vie est un compte
La leur est une putain
Ils marchent dans la ville
Le coeur figé
Je n'ai rien à donner
Je ne puis que prier
Qu'un destin plus clément
Me tienne hors de leurs rangs
Je marche dans la ville
Colère rentrée
Car je voudrais pourtant
Hurler au monde entier
Qu'il n'est pas de raison
De laisser tous ces gens
Comme des va-nu-pieds
Sombrer dans l'abandon
Je marche dans la ville
Le coeur serré
Sentiment d'impuissance
Révoltes avortées
Je feins l'indifférence
Pour ne pas attiser
La haine qui me ronge
Dans ce monde d'argent
Cultivant les mensonges
Sacrifiant ses enfants......
posté le 04-03-2009 à 02:38:18
Goutte par goutte mon coeur pleure
Larme par larme mes yeux se meurent
Une pluie rouge s'abat sur la nuit...
Une pluie rouge s'abat sur ma vie...
Tu as réussi à faire de ma vie un cauchemar
Tu as réussi à faire de ma vie ton histoire
Mais j'en ai plus qu'assez que tu me controles
Penses tu que ma vie est un role?
Tu m'as détruite petit à petit
Comment veux tu que j'oublie ?
Lentement je rampe sur le sol
Je fais la danse du désepoir... cette danse folle
Le sang se verse le long de mon corps
J'ai une chose à faire encore
J'utilise une dernière fois ce sang versé pour toi
Pour écrire sur le sol : tu ne m'auras pas eu, cette fois
Juste une histoire de lame de rasoir
Juste une histoire qui se finit un soir....
Larme par larme mes yeux se meurent
Une pluie rouge s'abat sur la nuit...
Une pluie rouge s'abat sur ma vie...
Tu as réussi à faire de ma vie un cauchemar
Tu as réussi à faire de ma vie ton histoire
Mais j'en ai plus qu'assez que tu me controles
Penses tu que ma vie est un role?
Tu m'as détruite petit à petit
Comment veux tu que j'oublie ?
Lentement je rampe sur le sol
Je fais la danse du désepoir... cette danse folle
Le sang se verse le long de mon corps
J'ai une chose à faire encore
J'utilise une dernière fois ce sang versé pour toi
Pour écrire sur le sol : tu ne m'auras pas eu, cette fois
Juste une histoire de lame de rasoir
Juste une histoire qui se finit un soir....
posté le 04-03-2009 à 02:36:43
Je jette un Oeil par-dessus mOn épaule
Quelqu'un me suis quelqu'un me frôle
Je crOis bien l'avOir vu quelque part
Avec sOn air qui m'dOnne le cafard
Je presse le pas, je rentre chez mOi
Les escaliers semblent si frOids
Je referme la pOrte à dOuble tOur
On est jamais trOp prudent en amOur
Mais sOudain je me fige devant la glace
MOi qui ai tOujOurs cru vivre seule
Je vOis cOmme une étrangère à ma place
Et mOn cOeur en prend plein la gueule
Le nuit je fais des rêves qui m'empOrtent
LOin de mOn lit, lOin de ma pOrte
Et je ne m'endOrs plus sans dépOser
MOn cheval blanc sOus mOn Oreiller
SurtOut qu'il a des ailes qu'il déplOie
Et je fOnce cOmme un Oiseau de prOie
Et j'arrache l'amOur à d'autres bras
On est jamais si bien trOmpé que par sOi
SOudain je me réveille le cOeur glacé
Mes draps cOllent à mOi cOmme un linceul
Je suis cOmme un Oiseau emprisOnné
Et mOn cOeur en prend plein la gueule
J'ai rangé ma fOlie dans mes tirOirs
Avec plein de chOses à Oublier
J'ai pendu ma jeunesse dans une armOire
DOnt j'ai vite égaré la clé
J'ai gardé les épines, jeté les rOses
On ne va jamais trOp au fOnd des chOses
C'est bien que l'amOur rime avec naufrage
On est jamais trOp prudent en vOyage
Mais vOilà que tu débarques sans t'annOncer
Que tu viens barbOuiller mOn image
Tu me distrais de ma réalité
Et tu me fais perdre ma page
Je suis prise dans ma tOile d'araignée
Et je n'ai plus envie d'être seule
Tu me vOles mes nuits et ma santé
Et tOn cOeur en prend plein ma gueule
Quelqu'un me suis quelqu'un me frôle
Je crOis bien l'avOir vu quelque part
Avec sOn air qui m'dOnne le cafard
Je presse le pas, je rentre chez mOi
Les escaliers semblent si frOids
Je referme la pOrte à dOuble tOur
On est jamais trOp prudent en amOur
Mais sOudain je me fige devant la glace
MOi qui ai tOujOurs cru vivre seule
Je vOis cOmme une étrangère à ma place
Et mOn cOeur en prend plein la gueule
Le nuit je fais des rêves qui m'empOrtent
LOin de mOn lit, lOin de ma pOrte
Et je ne m'endOrs plus sans dépOser
MOn cheval blanc sOus mOn Oreiller
SurtOut qu'il a des ailes qu'il déplOie
Et je fOnce cOmme un Oiseau de prOie
Et j'arrache l'amOur à d'autres bras
On est jamais si bien trOmpé que par sOi
SOudain je me réveille le cOeur glacé
Mes draps cOllent à mOi cOmme un linceul
Je suis cOmme un Oiseau emprisOnné
Et mOn cOeur en prend plein la gueule
J'ai rangé ma fOlie dans mes tirOirs
Avec plein de chOses à Oublier
J'ai pendu ma jeunesse dans une armOire
DOnt j'ai vite égaré la clé
J'ai gardé les épines, jeté les rOses
On ne va jamais trOp au fOnd des chOses
C'est bien que l'amOur rime avec naufrage
On est jamais trOp prudent en vOyage
Mais vOilà que tu débarques sans t'annOncer
Que tu viens barbOuiller mOn image
Tu me distrais de ma réalité
Et tu me fais perdre ma page
Je suis prise dans ma tOile d'araignée
Et je n'ai plus envie d'être seule
Tu me vOles mes nuits et ma santé
Et tOn cOeur en prend plein ma gueule
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