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Dans le ventre de maman Tu ne me connais pas encore...Mais moi je te connais.
Je suis si petit encore...ou petite qui sait...
Tu m'appelles Bébé...et moi je t'appelle Maman.
À vous deux je suis confié...pour un jour devenir grand.
Dans ton ventre, je suis gâté. C'est chaud, doux et si bon.
mon petit nid ouaté me protège des frissons.
J'entends déjà ta voix, je sens tes doutes et tes peurs.
Je te promets milles fois, de te faire oublier tes douleurs.
Tu auras besoin de persévérance; laisse-moi grandir en toi.
Un peu de patience, je serai là dans quelques mois.
Hier, pour la première fois, tu as senti ma présence
mon petit coeur bat pour toi, et pour papa, Quelle chance !
Prends soin de toi petite Maman, car je suis encore si dépendant
Je sais que tu seras à la hauteur. J'ai confiance en toi...je n'ai pas peur.
Grand-papa
Tu as su prendre une place si grande
Au cœur de ma vie que je ne peux,
À chaque fois que j'en ai l'occasion,
Passer outre de te dire à quel point
Je te suis reconnaissant
de tout ce que tu as fait pour moi.
Tu as pris la place que la vie a laissée libre.
Tu as si bien su remplir chaque espace laissé
Par mon besoin d'amour, d'attention,
De présence et surtout de réconfort.
Merci pour toutes ces années que tu m'as données,
le temps que je devienne aussi un homme
qui souhaite être pour quelqu'un d'autre,
aussi indispensable que tu l'es pour moi.
Même le plus chaleureux merci
Ne me semble pas suffisant
Tu as su prendre une place si grande
Au cœur de ma vie que je ne peux,
À chaque fois que j'en ai l'occasion,
Passer outre de te dire à quel point
Je te suis reconnaissant
de tout ce que tu as fait pour moi.
Tu as pris la place que la vie a laissée libre.
Tu as si bien su remplir chaque espace laissé
Par mon besoin d'amour, d'attention,
De présence et surtout de réconfort.
Merci pour toutes ces années que tu m'as données,
le temps que je devienne aussi un homme
qui souhaite être pour quelqu'un d'autre,
aussi indispensable que tu l'es pour moi.
Même le plus chaleureux merci
Ne me semble pas suffisant
Je t'aime profondément
Je t'aime profondément
Grand-papa
Sanglots dans la mer
Dans la fièvre de mes pensées,je navigue
Vers de lointains rivages inavoués
Ils sont perdus au large de l'été
Là oû l'aube frileuse bordigue.
Tandis que là-bas , sur la mer
L'incessant tangage indomptable
De mes lourds matins misérables
Se dessine de lointains amers.
Le fracas de ses vagues bleues
Tissent mes bouquets de sanglots
Éclaboussent,mes rêves,les plus beaux
Amante de la mer ,j'implore les cieux.
De mes cils brouillés,des perles de rosées
Doucement,sur mes joues viennent se glisser
Fermant les yeux,j'entends le chant des goélands
Voltigeants,comme noyés dans les outres du vent.
L'océan, est maintenant mon berceau
Mes plus beaux rêves,voguent sur les flots
Venant de la mer,j'entends un écho
Tel un murmure,Le bruit de mes sanglots.
Dans la souffrance
La vie ne t'a pas fait de cadeau
Et pourtant tu n'as jamais abandonné :
Tu t'es toujours relevé
Sans aucun mot, sans aucun repos.
La vie t'a blessé, meurtrie
T'as souffert jusqu'aux entrailles.
Mais aucune larme t'a enlaidi
Tu n'as jamais montré de failles.
La vie t'a affaibli
Sans jamais te donner,
Sans jamais te procurer
Tes rêves et tes envies.
Mais tu n'as jamais défailli
Tu t'es toujours relevé.
T'as toujours avancé
Malgré la douleur et le mépris.
Parfois tu pleures à l'intérieure
Et tu cries ta douleur
Parfois tu doutes du bonheur
Et tu déchires ton coeur.
Mais un jour, oui, un jour
Tu vivras ces instants toujours,
Ceux que t'as voulus
Et qui ne t'ont jamais déçus.
Pourquoi, quand tu es triste
Tu me fais cette liste
De tout ce qui ne va pas ?
Pourquoi, quand tu es heureux
Tu ne fais aucun aveu
Alors que tout va ?
Pourquoi tu t'accables sur ton sort
Alors qu'il y a tant à voir dehors ?
Pourquoi tu me dis que tu as mal
Alors que c'est tout à fait normal
De souffrir une fois dans sa vie,
De sourire quand tu en as envie,
De pleurer quand tu ne sais plus quoi faire ?
Pourquoi ne vois-tu pas
Qu'avoir mal, une fois dans ta vie
C'est la preuve qu'une fois
Tu as vécu ta vie ?
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